Un livre comme je ne les aime pas, ceux épars et privés d'architecture. Nul n'échappe décidément, au journalisme ou voudraitil, en produit pour soi et tel autre espérons, sans qu'on jette pardessus les têtes, certaines vérités, vers le jour.
L'excuse, à travers tout ce hasard, que l'assemblage s'aida, seul, par une vertu commune.
À part des poèmes ou anecdotes, au début, que le sort, exagéré, fait à ces riens, m'obligeait (envers le public) de n'omettre, les Divagations apparentes traitent un sujet, de pensée, unique si je les revois en étranger, comme un cloître quoique brisé, exhalerait au promeneur, sa doctrine.