Si le XIXème siècle a été celui des théories politiques et le XXème, celui de leurs applications désastreuses, il serait temps que l'actuel devienne celui du bon sens.
Après vingt-huit ans d'industrie dans différents pays européens, j'ai réalisé qu'aucun groupe industriel, qu'aucun État ne pouvait, ni ne voulait changer : le logiciel est très ancré et furieusement vérolé !
Pourtant, ce ne sont pas les bonnes idées et les initiatives qui manquent ! Des personnes ont réussi à changer et à faire changer certaines choses ! Cet espoir ne peut donc venir que de nous. Commençons par nous poser la question : « Qu'est-ce que j'pourrais bien faire, si j'étais moins bouffé par le quotidien ? »
Si nous comprenons comment nous en sommes arrivés là et que nous sommes persuadés de la nécessité d'un changement radical, nous pouvons faire jaillir de nouvelles idées et de nouvelles initiatives.
Je lance donc un débat hors de toutes idéologies, de tous tabous, de tous préjugés. Si nous le voulons, nous pouvons relocaliser, appliquer un revenu universel, employer une économie circulaire, utiliser une finance raisonnée, faire en sorte que l'État soit plus efficace et plus proche de ses citoyens. Nous devons penser en écologue plutôt qu'en écologiste, et surtout, nous devons respecter davantage, ce que nous consommons à commencer par l'eau, la nourriture et l'énergie.
Oui, une chose est sûre : il y a du pain sur la planche !