Nous avons suivi l'oiseau dans les libertés du vol, de l'espace et de la lumière ; mais la terre que nous quittions ne nous quittait pas. Les mélodies du monde ailé ne nous empêchaient pas d'entendre le murmure d'un monde infini de ténèbres et de silence, qui n'a pas les langues de l'homme, mais s'exprime énergiquement par une foule de langues muettes.