Une jeune femme qui se bat contre la maladie, de retour au sanatorium dont elle ne reviendra peut-être pas, ouvre une lettre que vient de lui remettre son amant. Lettre de rupture, ou plutôt de congé. À quoi elle répond ici au nom de cette Vie qu'elle risque de n'avoir plus longtemps à vivre, mais qu'elle persiste à vouloir exempte de toute tiédeur, de tout compromis.
Salué par les plus grands - Paul Valéry, Paul Claudel, Clara Malraux... - ce livre, publié quelques mois avant la mort de l'auteur, est un cri qui ne peut que nous émouvoir tous.