Un militaire passe un jour devant une grande tour enfermée de murs. A son approche, il aperçoit une porte ouverte sur un somptueux jardin. C'est un lépreux qui vit là, coupé du monde extérieur. Et voilà que s'amorce un dialogue poignant sur le jardin et l'amour du silence. «Celui qui chérit sa cellule y trouvera la paix.»A couper le souffle, «Le Lépreux de la cité d'Aoste» est, en 2020, une ode à la solitude et un remède au confinement.-