À VICTOR HUGO.
LE VIEUX MONDE
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Dieu l'a dit : ne va pas plus loin, ô flot amer !
Mais quoi ! tu m'engloutis ! au secours, Dieu ! la mer
Désobéit ! la mer envahit mon refuge !
LE FLOT
Tu me crois la marée, et je suis le déluge.
EPILOGUE DE l'Année terrible.
Tu l'as dit : C'en est fait ; ni fuite ni refuge
Devant l'assaut prochain et furibond des flots.
Ils avancent toujours.