« La pestilence est à son paroxysme. J'aperçois dans un coin de la pièce, éclairé par un rai de lumière passant entre les panneaux des volets clos, un corps allongé sur un lit. Nicolas ouvre brusquement les volets et la fenêtre, n'apportant qu'une bouffée d'air frais. L'homme est couché sur le dos, dans un vêtement de travail de laine brune, les mains croisées tenant un éventail noir sur le ventre ». Dans ce troisième roman, Adémard de Prensac est chargé de résoudre une énigme à Sarlat : on peut imaginer qu'en mai 1643, les braises des guerres de religion y sont encore brûlantes... et les meurtres monnaie courante.