On se rappelle la fâcheuse aventure de ce collectionneur d'objets macabres, funèbres et criminalistes dont la plus belle pièce, le faux-col d'une victime célèbre, fut lavée, empesée, repassée par une chambrière zélée, mais peu documentaire.
Pareille aventure arriva, voilà tantôt quelques années et même un peu plus, à un vieux gentilhomme que je connaissais, et qui s'appelait le marquis de Bois-Lamothe.