Peut-on s'allonger sur le divan d'un psychanalyste quand on est roi, prince heritier ou simplement altesse royale ? Imagine-t-on un souverain flancher, envoyer valdinguer ses engagements officiels pour confier a' un professionnel de sante ses angoisses et ses fantasmes, comme n'importe lequel de ses sujets ? A-t-on vu une seule fois Elizabeth II vaciller ? Pourtant, les « cas » de Charlène de Monaco, de Diana, de Meghan et Harry, de Masako du Japon et de tant d'autres ne sont-ils pas revelateurs d'un certain malaise ? Après tout, Charles III n'est pas sans faille... Et si les familles royales n'etaient pas si differentes de nous ? Et si elles avaient quelque chose a' nous apprendre sur nous-me^mes ? Entre crises de succession et crises de nerfs, pas si simple de garder toute sa te^te quand on porte la couronne.