Castaner le boucher et le bourreau de la place Beauvau

Les termes « boucher » et « bourreau » paraissent excessifs pourtant, les Gilets jaunes l'expriment à travers leurs affichettes d'une manière expressive et sans ambiguïtés avec des faits malheureusement certifiés.

Quand on fait son bilan, comment dire le contraire, c'est un triste record : 25 éborgnés, 5 mains arrachées, 321 crânes ouverts, tirs dirigés de LBD contre de simples manifestants, voire des passants, décès de Steve Caniço (lors de la fête de la musique à Nantes), Zineb Redouane ( tir de LBD, alors qu'elle fermait ses volets lors d'une manifestation).

Début mai 2019, le collectif des Robes noires et Gilets jaunes a publié un communiqué de presse pour dénoncer une dérive liberticide et de graves atteintes à la liberté individuelle.

Et pour cause à la mi-février on comptait plus de 8000 arrestations, 7500 gardes à vue, 1796 condamnations, plus de 350 personnes incarcérées.

Tout le monde se plaint de la lenteur de la Justice. Pour juger et condamner les Gilets jaunes, elle se montre particulièrement expéditive et injuste.

Lors d'une interview, Alexandre Langlois, le secrétaire général de Vigi Police, témoigne avec clarté de la responsabilité de Castaner, et au-dessus de lui de Macron :

« Le message envoyé par le gouvernement, c'est qu'on veut aller à la confrontation, on ne veut plus éviter la répression, et tout est mis en place pour que cela dégénère. »

Et dans cette mission que lui a confiée Macron, Castaner a bien fait son lamentable boulot. Après moins de 2 ans, Casta, le « Sinistre » de l'Intérieur est enfin renvoyé. Dans tous les commissariats de France et de Navarre, le champagne a dû couler à flots pour fêter la bonne nouvelle !

En plus de boucher et de bourreau de la place Beauvau, Casta, le crétin des Alpes-de-Haute-Provence, remporte le trophée du pire ministre de l'Intérieur de la cinquième République. Ne soyons pas méchants, et ne remontons pas au-delà Du jamais vu ! Macron dans le choix de ses ministres se révèle être un piètre DRH de la République. Casta a dégagé, mais Macron est toujours là

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