À bord, les animaux sont exposés à des causes morbifiques, susceptibles d'engendrer les maladies les plus variées ; ceux qui y sont soumis bien portants peuvent résister ; mais ceux dont l'économie est déjà affectée, se trouvent dans les plus mauvaises conditions possibles. Je conseille donc aux capitaines de navire de faire visiter leur cargaison vivante, avec un soin extrême, au moment le plus rapproché de l'embarquement ; nul sujet rien sera exempté. On laissera à terre...