Plus personne n'organise ses souvenirs. On est trimballés d'une époque à une autre, d'un personnage à un autre au gré d'un écrivain paresseux et désordonné qui ne sait plus tenir fermement le fil d'une vie et, moins encore, l'écheveau de plusieurs vies qui se nouent, se croisent, se superposent et se perdent et enfin se cassent.
Ça rime à quoi, ces morts qui meurent à la première page et qui naissent à la dernière du roman ?