La partie des écrits de Descartes relative à la morale n'est pas sans étendue ; mais ni par sa nature ni par son contenu, elle ne paraît rentrer dans son oeuvre philosophique proprement dite. Ce sont avant tout les lettres à la princesse Élisabeth et à la reine de Suède : Descartes s'y accommode aux désirs et aux besoins de ses illustres correspondantes.