"De tous les livres que, depuis vingt ans, j'ai lus sur la vie dans les camps de concentration nazis, aucun, à l'exception de « L'Homme et la Bête », de Martin-Chauffier, ne m'a aussi profondément bouleversé que le récit du pasteur Bonifas. Sa simplicité, sa sobriété, son refus de toute littérature donnent à son témoignage une force d'authenticité qui, d'emblée, fait pénétrer le lecteur dans l'intimité d'une vie miraculeusement rescapée d'un enfer d'inexprimables souffrances."