La production est pauvre mais le réalisateur est très généreux. Voire parfois trop. Il vide ses poches et promet un avenir certain. Ainsi fonctionne le cinéma d'auteur. On est prêt à vendre son âme au diable pour quelques heures de gloire dans un ciné-club. Universitaire si possible, où l'intelligence semble être encore fraîche et riche en pardons. (extrait)