On a étudié bien des fois le « cas J.-J. Rousseau » et nous n'oserions affirmer qu'on soit parvenu à le définitivement élucider ; c'est qu'il n'en est pas de plus complexe, de plus difficultueux en raison de sa complexité même.
À ne parler que de sa maladie mentale, pour les maux physiques, on a cru devoir appeler à son chevet, rétrospectivement, plus de dix spécialistes en consultation ! on cherche vainement une étiquette pour désigner un mal qui ne saurait être univoque.