Le narrateur, en voyage en Auvergne, grimpe au Sancy et remarque dans l'auberge où il déjeune, une vieille femme sèche et ridicule. Il la croise à nouveau le lendemain. Elle pleure à chaudes larmes et lui raconte son histoire : un fils unique qu'elle aime trop, son mari qui impose que le garçon parte en pension à huit ans, elle qui ne le voit plus que quatre fois par an et considère qu'on lui a volé l'enfance de son fils.
Son mari meurt, puis ses deux sœurs, elle vit désormais seule. Son fils s'est mariée avec une anglaise qui n'aime pas sa belle-mère, elle ne l'a revu qu'une fois depuis son mariage, elle erre seule comme un chien perdu.