"Un polar noir comme des pâtes à l'encre de seiche, âpre comme un coup de mistral et puissant comme une gorgée de Garlaban..." Franz-Olivier Giesbert. "René Coppano sait de quoi il parle. La police dont il fut un fleuron. Marseille dont il est l'un des enfants. La pègre qu'il a combattue. C'est aussi un écrivain. Rares sont ceux qui, comme lui, savent restituer une époque. Le roman commence en 1968. La musique est à fond. Deux jeunes gens, Angel et Vincent, font les quatre cents coups. La vie va les emmener loin l'un de l'autre, jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à la fin des années 80. Face à face, cette fois." Franz-Olivier Giesbert