Jeu, la vie est bien un jeu, terrible : on est un malheureux ponte de l'existence, ou un fortuné convive au banquet de la vie. Malins et heureux ceux qui, connaissant les lois du hasard, ordonnées et immuables comme la nature, savent qu'il n'existe pas en réalité de jeu équitable, mais qu'il est souvent possible de s'attribuer les zéros, privilèges du banquier.