Dans la chambre contiguë au magasin de thé du négociant Iérchakov, est assis à un haut pupitre le patron lui-même, homme jeune, mis à la mode, l'air fatigué, et qui a apparemment mené une vie agitée. À en juger par sa large écriture ornée, sa coiffure à la Capoul et l'odeur fine de son cigare, il n'est pas étranger à la civilisation européenne...