LA MUSE ET LE PAROLIER

Caroline est la muse, Carter est le parolier qui est frappé quand il la voit. Il y a Douglass, le coureur de jupon homme d'affaires pourchassant Caroline. Janet le professeur de musique où Carter travaille sur le spectacle scolaire avec les étudiants et Janet lui envoie des signaux qu'il ne voit pas, jusqu'au jour où, tout change.

''J'y ai pensé, et je crois que je devrais te dire quelque chose.''

''Quoi?''

''Tu asdes belles fesses.''

''Quand as-tu remarqué ça?'

''Tu veux dire quand est-ce que je ne l'ai pas remarqué, que tu as des belles fesses. J'ai bien envie de les pincer.''

Riant, il dit, ''Eh bien, c'est intéressant. Aucune femme ne m'a pincé les fesses. Je me demande si j'aimerais ça.''

''Je sais que moi oui,'' elle riait.

'Janet, la vie ne sera jamais ennuyeuse avec toi, n'est-ce pas?''

''J'espère que non, mon sens de l'humour ne me le permettrait pas.''

''En bien, mon sens de l'humour était endormi jusqu'à présent.''

''Je crois qu'il ira de pair avec le mien, à en juger par ce soir.''

Alors elle commença à lui caresser l'oreille, la mâchoire et l'embrassa, disant tout bas, 'il est déjà plus de 9h.''

''Pas de temps à perdre, alors. Je ne veux pas manquer une chance de t'embrasser.''

Quelques minutes plus tard, il demanda, ''Tu veux danser?''

''Oui, je veux bien.''

Alors ils cessèrent de s'embrasser, ils se levèrent et Janet ajusta le volume de la radio. Il la prit dans ses bras et ils dansèrent. Joue contre joue. Carter lui tenait la main gauche, tandis que sa main droite était autour de sa taille, donc sa main gauche à elle était autour de ses épaules à lui.

Cela faisait quelques minutes qu'ils dansait, lorsque soudain, Janet réalisa qu'elle avait la chance de faire ce qu'elle avait envie de faire depuis longtemps, alors elle baissa la main et lui pinça une fesse.

''Hé!''

''Je t'ai bien dit que j'avais envie de le faire depuis longtemps, je ne pouvais pas laisser passer une telle occasion.''

''Tu parles!'' Il eut une idée et sa main descendit jusqu'à ses fesses.

''Est-ce que tu vas me pincer une fesse?''

''Non.''

''Tu vas juste laisser ta main là?''

''Tu n'aimes pas? Tu peux peux en faire autant, tu sais.''

''Carter, j'aime, par contre, nous savons tous deux que cela nous mènerait dans une certaine direction assez rapidement, avec ce genre de touché.''

''Et on est d'accord à ne pas sauter les étapes.'' Il retira sa main et la remit autour de sa taille. ''Si près et si loin en même temps.''

''Tu écris des paroles ou tu en demande plus?''

''Je ne fais que dire les faits.''

''Eh bien, voici des faits pour toi, il est presque 10H, je sais que tu en veux plus, une part de moi aussi mais une autre part de moi me retient, mais je peux te dire que ça va valoir la peine d'attendre.''

''J'ai l'impression d'avoir reçu une douche froide, chaude, froide et puis chaude.''

''Si cela peut te consoler, une douche froide ne me dérangerais pas. Ce n'est pas parce que je ne peux pas, que ne le ressent pas. Tu m'allume, bien entendu.''<