Publié, il y a près de trois ans dans un recueil périodique, mais composé il y en a plus de cinq, c'est-à-dire avant que Nietzsche ne fût encore lisible en français, ce travail nous avait paru perdre toute utilité à la suite de la belle et complète traduction du grand psychologue donnée par M. Henri Albert et ses collaborateurs.
Nous avions voulu initier ou plutôt « amorcer » aux idées de Nietzsche quelques jeunes esprits particulièrement capables d'en tirer profit comme il venait de nous arriver à nous-même et d'en recevoir non un joug, mais une stimulation dans leur développement.