Cette pièce suscita une controverse lorsque Fréron, puis Palissot accusèrent Diderot d'avoir plagié Il vero amico de Goldoni. Goldoni lui-même a contesté ce plagiat.
Lors de la publication de cette pièce, il l'a fait précéder d'une épître dédicatoire à la princesse de Nassau-Saarbruck (l'épouse du prince Guillaume Henri de Nassau-Saarbrücken).