S'il suffisait, non pas même pour écrire un bon livre, mais seulement pour ne gâter point, un beau sujet, d'être animé des meilleures intentions, nous n'aurions pas assez d'éloges pour les quatre cent dix-neuf pages que M. Paul Charpentier vient de consacrer à l'étude de cette maladie subtile, mystérieuse et profonde que l'on a désignée, voilà longtemps déjà, faute d'un autre nom plus significations le nom de mal du siècle.