Recueil d'histoires vraies et de confessions érotiques sur la flagellation et l'art de la fessée par un maître en la matière : sensualité et délicatesse, psychologie, sincérité et souci de vérité inspirent tous ces récits. Un vrai régal pour le lecteur avisé.
Table des matières :
Contrat de Licence
LES MAINS CHÉRIE
Préface
I. L'Hermaphrodite
II. Marie-Jeanne
III. Francesco
IV. Documents
V. Madeleine
VI. Maurice
VII. Carmen
VIII. Mademoiselle Marceline
IX. Une opinion féminine
X. Reine
XI. Monique
XII. Nicole
CORRESPONDANCE
Avis à nos lectrices, à nos lecteurs
Lettre I
Lettre II
Lettre III
Lettre IV
Lettre V
Lettre VI
Lettre VII
Lettre VIII
Lettre IX
Lettre X
Extrait :
«Ma braguette en dessous sera vite défaite aussi. Elle me soulève, me tourne un peu pour passer la main. Et puis, je l'aide en me soulevant, en me tournant moi-même...
Mais va-t-elle s'en apercevoir de ce combien est resté ému de ce qui s'est tant ému tout à l'heure ? Oh ! que je serais honteux !... Pourquoi ? le sais-je seulement ?
Non, elle ne s'est aperçue de rien. Je l'ai pourtant sentie, moi, sa main au passage, j'ai senti le bout de ses longs doigts me frôler quand ils entraient dans l'ouverture, cherchant le troisième bouton coincé.
C'est fait, je suis déculotté. Elle tire ma culotte, l'abaisse, la rabat au-dessous de mon derrière qu'elle voit déjà. Sous moi, mon pantalon est retenu par le poids de mon corps sur le sien. Mais oh ! comme elle déculotte bien ! elle me soulève, le fait descendre jusqu'à mes jarrets. Je serai comme le cousin. Elle verra tout de moi, mes fesses, toutes, mes cuisses, toutes aussi. Elle relève ma courte chemise... elle m'a sous les yeux tout nu, des omoplates au jarret, car elle a poussé le plus haut qu'elle a pu ma veste avec la chemise.
Je serre les fesses. Là au moins, comme cela sur elle, je puis les serrer. Lui, il ne le pouvait. Gabriel, Sa position le lui interdisait.
Mais pourquoi diffère-t-elle de me claquer ? Je me tourne comme je peux... de tous ses yeux elle regarde ce que je crispe tant... Je ferme les miens, je me mords les lèvres pour ne pas crier quand elle me cinglera... J'aurais trop honte de crier, lui n'a pas poussé un cri, Gabriel.
Clac ! une gifle à toute volée est tombée. Clac ! une autre est venue de l'autre côté. Pourquoi ne continue-t-elle pas ?... Je les crispe, mes fesses, je les serre, je les serre...
De longues secondes se succèdent... Et puis, tout d'un coup, une grêle de claques !... La fessée s'est déclenchée, la fessée que depuis si longtemps j'attends, que mon angoisse appelle... Mais quelle surprise ?... Mais, c'est bon !... c'est cinglant affreusement, mais c'est délicieux !
Oui, c'est délicieux ! Et je m'agite follement, je rue, je saute sur ses cuisses musculeuses, je me frotte contre elles, je les sens tièdes et vivantes, ses cuisses ! Et sa main qui me claque, je la sens si vivante aussi que c'est sa vie, sa force, qu'elle m'infuse et c'est pourquoi je bondis ainsi ! J'ai envie de lui crier de ne pas s'arrêter, de bien claquer longtemps comme cela. Cela ne me fait pas de mal, au contraire. J'adore sa main qui me cingle, sa main que j'ai vue à l'ouvrage, si zélée, si courageuse. Mes bras libres, qui pendaient de l'autre côté de sa cuisse gauche et dont les mains se retenaient aux pieds de sa chaise, mes bras, je les ai ramenés, je sens la dureté de sa chair au travers de sa jupe légère... Sa chair vigoureuse, toute en muscles, la chair de ses cuisses de sportive entraînée avec lesquelles elle saute si bien au tennis, projetée comme par un ressort puissant, la chair de ses cuisses qui lui servent aussi à tenir à sa merci ou à supporte