J'ai avancé, dans un premier ouvrage, que la religion chrétienne me paroissoit plus favorable que le paganisme au développement des caractères, et au jeu des passions dans l'épopée ; j'ai dit encore que le merveilleux de cette religion pouvoit peut-être lutter contre le merveilleux emprunté de la mythologie ; ce sont ces opinions, plus ou moins combattues, que je cherche à appuyer par un exemple