On sait l'histoire de ce forgeron d'Anvers qui aima une jeune fille, et qui devint peintre par la seule force de son amour.
L'Allemagne tout entière eut jadis une histoire pareille : c'est par un miracle d'amour qu'elle devint peintre et le resta trois cents ans.
Jamais une race n'avait eu à un aussi faible degré les qualités que requiert la peinture. Au xive siècle, pas plus qu'aujourd'hui, les Allemands ne savaient voir les choses d'une façon colorée ou précise.