Tout comme il y a des crises politiques ou financières, il y a des crises littéraires. Elles se reconnaissent à ce signe, que les écoles se disloquent et que les efforts s'éparpillent. Il n'y a plus de direction commune, les principes chancellent, les bornes des genres se déplacent, le sens même des mots s'altère, on perd jusqu'aux vrais noms des choses :