Faut-il tant qu'un Anglais foule avec insolence,
Le sol cher et sacré de notre belle France,
Qu'une trêve maudite enchaîne, ici, nos bras ?
FONTENAY.
Mes vœux, comme les tiens, appellent les combats,
Chevalier, et bientôt nous verrons, je l'espère,
La patrie arrachée au joug de l'Angleterre.
La trêve aura sa fin, la gloire aura son tour,
Attendons tout du temps !
LENOIR.
Oh !
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.