Les aventures de Romney Pringle

Une des anciennes gravures qui éclairaient la chaude chaleur à la détrempe des murs du salon venait d'être sommairement déplacée. La corde se brisant, elle avait atteint le sol, une épave complète, un bol de fleurs renversé dans la descente après avoir versé sa cascade sur le verre brisé jusqu'à la ruine totale de l'empreinte en dessous. Un substitut s'imposait et, trouvant un digne successeur dans un 'Diogène' de Salvator Rosa, gravé dans une ligne laborieuse mais belle, Pringle était sur le point de remplacer le portefeuille lorsque l'on frappa à la porte extérieure. En se levant, il admit un grand gentleman aux habitudes grises, légèrement incliné, qui saisit sa main sans résistance et la secoua chaleureusement.

"Pourquoi, sûrement tu ne m'as pas oublié!" s'exclama l'étranger, s'abstenant alors qu'il observait une expression pierreuse se rassembler sur le visage de son hôte. Pringle commença, tandis que ses traits se détendaient pour laisser place au sourire gagnant qui appuyait si bien le magnétisme de son adresse.

"Quoi! Est-ce que ça peut être M. Windrush?"

"Pourquoi, bien sûr que c'est ça! Mais c'est stupide de ma part! - J'aurais dû me rappeler que vous ne m'aviez rencontré qu'une seule fois auparavant, et à ce moment-là, j'avais l'air assez différente de ce que je suis maintenant."

"Pas si différent", fut la réponse délicate de Pringle. "Vous avez certainement supporté avec courage une épreuve qui aurait écrasé la plupart des gens."

"Ah, ce misérable Asile! Je ne l'oublierai jamais, ni la façon dont j'ai été fait pour devenir fou. Et surtout, je n'oublierai jamais la manière noble avec laquelle vous avez travaillé pour ma libération après que vous ayez découvert la vilenie de mon frère son complice. "

"Tu m'as déjà remercié au-delà de mon désert. Prie, Laissez-nous parler d'autre chose. Comme c'est gentil de venir me rendre visite!"

"Et bien, tu n'es jamais venu me voir pendant tout ce temps, alors je suis venu voir si tu étais encore en vie!"

"Vous voyez que mon temps est tellement occupé par mon travail d'agent littéraire que mes visites à des amis sont nécessairement angéliques", et Pringle, avec une calme mendicité, fit signe de la main au bureau vide.

"Eh bien, je viens maintenant vous demander votre avis et, si vous pouvez le suggérer, votre aide."

"Si vous pensez que mes conseils valent la peine d'être consultés, je ne serai que trop heureux de vous les donner, mais je crains que vous ne surestimiez mes pouvoirs."

Car ils organisaient une fête entre amis, et son mari se serait demandé si elle n'avait jamais porté les diamants tout le temps. Eh bien, les bijoutiers ont suggéré de lui laisser la vraie star, en location pour 50 kilos, jusqu'à ce que la pierre factice soit remplacée, mais ils ont insisté pour qu'elle leur donne un chèque pour le millier qu'ils lui avaient prêté avec intérêt, ils ont accepté de le garder. et le lui rendre quand elle a rendu les vrais diamants. Elle a donc porté l'étoile une ou deux fois pour l'apparence de la chose, puis l'a rangé. Après la séparation de la fête hier, elle a découvert avec horreur que la boîte à bijoux était vide. Elle dit qu'il a été ouvert aux charnières. " jusqu'à ce que la pierre factice soit remplacée, mais ils ont insisté pour qu'elle leur donne un chèque pour les milliers qu'ils lui avaient prêtés avec intérêt, ils ont accepté de le garder et de le lui rendre lorsqu'elle aurait rendu les vrais diamants. Elle a donc porté l'étoile une ou deux fois pour l'apparence de la chose, puis l'a rangé. Après la séparation de la fête hier, elle a découvert avec horreur que la boîte à bijoux était vide. Elle dit qu'il a été ouvert aux charnières. " jusqu'à ce que la pierre factice soit remplacée, mais ils ont insisté pour qu'elle leur donne un chèque pour les milliers qu'ils

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