Extrait des Lettres de mon moulin : « M. Seguin navait jamais eu de bonheur avec ses chèvres.Il les perdait toutes de la même façon : un beau matin, elles cassaient leur corde, sen allaient dans la montagne, et là-haut le loup les mangeait. Ni les caresses de leur maître, ni la peur du loup, rien ne les retenait. Cétait, paraît-il, des chèvres indépendantes, voulant à tout prix le grand air et la liberté.»