"Le matin, elle avait relut toute la première partie du livre, provisoirement intitulé en français *les Voleurs d'atomes.*Tout s'enchaînait avec une logique implacable. Le récit, parfaitement documenté, n'était jamais ennuyeux. Il se contentait de rapporter les faits bruts et sans aucun commentaire. L'analyse politico-économique proprement dite serait développée dans la seconde partie. Cette nuit Tatiana a décidé de dormir rue Lepic, sur le canapé du salon, car elle n'a pas le courage de rentrer chez elle, dans le XIIIe."