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Sale temps pour un pilote d'avion
Où l'on découvre que lorsque la météo est mauvaise et qu'un des pilotes n'est plus en mesure d'assurer son rôle, la sécurité de l'avion ne tient qu'à un cheveu.
Michel Vanvaerenbergh nous invite à embarquer dans ce recueil de nouvelles autobiographiques, glissant quelques anecdotes personnelles de sa carrière de pilote.
A PROPOS DE L'AUTEUR
En 1948, Michel Vanvaerenbergh poursuit des études d'ingénieur industriel avant d'intégrer l'école d'aviation civile à Bruxelles. Pendant près de trente ans, il pilotera des Boeing pour le compte de la Sabena, la compagnie aérienne nationale belge. Devenu instructeur en vol, il donnera cours de navigation aérienne et maritime dans diverses écoles et rédigera le cours de navigation de l'administration de l'aéronautique. Son livre, Souvenirs sans gloire, se décline sous forme de 14 nouvelles..
EXTRAIT
Nous sommes quelques jours avant Noël et en cette fin d'année 1981, la Belgique est noyée dans le brouillard. Le vol est un saut de puce : Paris, aller et retour. Ce soir, les prévisions de Bruxelles sont mauvaises. Nous avons pris au départ le fuel économique, c'est-à-dire le carburant strictement nécessaire à l'aller-retour. Sans supplément : c'est la politique habituelle de la compagnie. On verra bien à Paris, où nous disposerons des derniers bulletins météorologiques, si nous avons besoin d'un supplément.Manque de chance, nous avons du retard à Paris et le chef d'escale, que nous appelons le rep, nous presse de partir sans rajouter de carburant. Le commandant semble accepter sans discuter tout ce que le rep suggère. Les dernières prévisions de Bruxelles et de notre diversion, Charleroi sont très mauvaises. Je voudrais plus de fuel, de quoi revenir à Paris si nécessaire. Poliment, je demande au chef d'escale de me laisser seul avec le commandant. Ce n'est pas une demande courante. Au sol, le chef d'escale est mon supérieur hiérarchique, et il me lance un regard noir, mais s'exécute.Je connais bien le commandant, un des rares que je tutoie, ce qui à l'époque n'est pas courant : Éric, ce n'est pas à moi de te le dire, mais le commandant c'est toi. Ne penses-tu pas que nous devrions prendre un peu de fuel ?Il me répond : Tu as raison, on va prendre du fuel.

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