Mon père m'avait donné la liberté de choisir le livre que je voulais, de circuler lire et remettre les livres, prendre le temps de faire mon choix sans conseil. Mon père n'avait rien à dire, rien du tout, pas de « il faut que tu connaisses » « tu dois absolument ». Mon père me laissait seule avec mes livres avec mes idées.