Pierre le sait: «Dans six mois la patrie aura besoin de sa chair. La guerre la réclame.» Mais Paris est déjà sous les bombes. Pierre ferme les yeux et plonge dans les ténèbres du métro pour fuir les détonations sourdes. Quand il rouvre les yeux, il la voit, en basLuce. «Le silence. La paix. Elle est là.» Et bientôt il la perd du regard. Et bientôt il la revoit, enfin. Mais c'est toujours la guerre cette guerre qui «ne mène à rien» qui de nouveau les sépare...-