On dit que traduire, c'est trahir, ici, c'est encore plus vrai, car ce qui rend la tâche de plus en plus difficile, c'est qu'en plus de l'arabe classique, où un mot peut prendre plusieurs définitions et sens, nos poètes emploient des mots en patois(dardja) local, de leur ragions et, aussi une autre difficulté, ils utilisent beaucoup les métaphores dans leurs poèmes(qassayed), car il n'y a pas de mots dans ce qu'il voit comme vérités absolues, pour les décrire, il n'y a que les initiés qui les comprennent à l'exemple des boudala, lemchayeh, leqtab, elghouti, ahl El hala et El awlia(ce sont les noms qu'on donne aux initiés avec les différents niveaux, chaque nom correspond à un niveau atteint par ces personnes) le niveau le plus élevé est «Leqtab»(les pôles)«elghouti»(le plus haut niveau atteint par les saints). Vous voyez bien la très grande difficulté du travail que je me suis donné. Pour cela, je vous demande s'il vous plaît cher(es) ami(es) lecteurs/lectrices, d'être indulgent avec moi et, aussi m'aider si vous avez un peu de temps, car il y a sûrement des erreurs, soit dans la traduction soit dans l'interprétation, n'hésitez pas s'il vous plaît à m'en faire part pour que je puisse les corriger si je vois que c'est juste et correcte, merci.
Liste des poèmes
1) / Ettawessoule / L'imploration
2) / el faradjia / La salutaire
**3) / Ma eddoume el hakma / L'autorité ne durera pas
. ma nekwa had bnar elbine /
Personne n'a été comme moi marqué au fer rouge**
5) / Niâm El Qayoum / L'opulent qui subsiste par lui même
6) / Ya goumriét lebrodj / Oh ! La colombe des tours (des hauteurs)