Née en 1957, Celia Bonier vécut une enfance marquée par la différence, touchée par le syndrome de Turner. Une longue recherche personnelle l'a conduite jusqu'en Afrique, en 1994. Ce fut pour elle une expérience enrichissante de 2 ans, qui tient dans cette phrase : « Quand il n'y a plus rien, il y a l'essentiel. »
Lors de son retour en France, on lui annonce sa séropositivité. Là encore, elle n'a pas d'autre choix que de se confronter à la marginalité, à la différence, pour apprendre à l'aimer.
En 2011, elle publie un livre témoignage en autoédition : Séropositive pour aimer mieux...
Avec ce second livre, elle partage sa réflexion sur les enjeux du VIH et un autre regard sur le travail, le milieu médical, l'écologie, la société... sur notre humanité.