Jean-Paul Gallmann, médecin de campagne à la retraite au moment de l'impression de ce recueil de brèves, dehaïkus et d'un haïbun, s'est mis tard à l'écriture de ce genre. Pendant plus d'une vingtaine d'années il a consacré ses loisirs à la peinture. Le premiercontact avec les haïkus fut un abonnement de 2007 à 2008 à la revue Gong dans laquelle trois de ses haïkus ont été publiés. Après une interruption de plusieurs années durant lesquelles il avait cependant proposé comme thème aux membres de son groupe de peinture d'illustrer un haïku dans un de leurs tableaux, il renoue avec l'écriture en 2014 en s'inscrivant à divers groupes sur le net.
Autodidacte, son métier ne lui laisse que peu de temps pour des lectures autres que les revues scientifiques. Au contact de tous les plus grands contemporains francophones, de dossiers didactiques et à la lecture de classiques ses haïkus s'affinent.