On dit que, parmi tant de romans dont le seul nom réveille dans nos mémoires le souvenir de quelque émotion forte ou de quelque vision gracieuse, s'il en est un que M. Cherbuliez préfère et pour lequel il conserve une prédilection paternelle, c'est l'Aventure de Ladislas Bolski. Du moins n'est-il pas douteux que ce fût le plus dramatique, et celui qu'il devait être le plus tentant de transporter du livre sur la scène.