Sa première publication, Rhapsodies (1832), est un recueil de poèmes précédé d'une préface aux déclarations fracassantes, dans laquelle il professe un républicanisme fait plus de mépris et de dégoût pour la société que d'idéal démocratique à proprement parler, républicanisme négatif, défi d'un misanthrope, d'un « lycanthrope » (homme-loup) pour reprendre l'expression par laquelle il se rendit célèbre. Ses vers sont dédiés aux amis du Petit Cénacle Jehan du Seigneur, Napoléon Thom, Gérard de Nerval, Vigneron, Bouchardy, Théophile Gautier, Alphonse Brot, Augustus Mac-Keat, Vabre, Léon Clopet, Philotée O'Neddy. Nous sommes ici en présence d'une des plus belles réussites de la mode « frénétique » de ces années 1830, qui représente pour le cas présent beaucoup plus qu'un simple jeu littéraire.
Rhapsodies
Prologue
Bénoni
Le Vieux capitaine
I
II
Adroit refus
Sanculottide
Le Rendez-vous
Le Médaillon d'Iseult
Désespoir
Fantaisie
La Corse
Doléance
Victoire
Isolement
La Fille du Baron
Le Rempart
Rêveries
L'Aventurier
Hymne au Soleil
Heur et malheur
Odelette
Ma Croisée
Sur le refus du tableau, la Mort de Bailli, par le jury
À Jules Vabre, architecte
Agarite
VILLANELLES
Le vieux Ménétrier breton
Origine d'une Comtesse
La Soif des Amours
L'Incendie du bazar
PATRIOTES
Nuit du 28 au 29.
I
II
III
IV
V
Sur les Blessures de l'Institut
À l'ex-Chambre qui proposait l'abolition de la peine de mort
Le Chant du Réveil
Boutade
EPILOGUE