Que l'on soit obligé d'écrire tout un livre, et un gros livre même, de plus de cinq cents pages, d'une impression très serrée, pour établir que le crime, en général, est l'œuvre de la volonté de celui qui le commet, c'est ce qui peut paraître assez étonnant d'abord, scandaleux ensuite, et finalement inquiétant.