Extrait : Ce changement de votre part vous aure, Sire, le retour des François qui ne pourront plus douter que vous avez été trompé ; c'et le vœu de l'Aemblée qui n'a d'autres intérêts que ceux de la Patrie, de la Monarchie Françoise, d'achever la Contitution & d'aurer le bonheur du Peuple. Voilà, Meieurs, le eul moyen favorable qu'il vous rete à prendre & et que vous n'avez pas encore aii. Il s'agit donc de ralier le Pouvoir exécutif au Pouvoir légilatif : le Roi & le Peuple, plus d'intermédiaire entre ces deux Puiances ; c'et le principe de la Contitution, ce doit être votre vœu le plus cher, & jamais médiation ne era plus mémorable, digne enfin des Légilateurs François. Ceux qui ne veulent plus de Monarchie, & qui tendent évidemment à une République, interprètent la démarche du Roi comme une hotilité qui ne doit pas reter impunie ; je demande aui i l'affaire du 6 octobre n'et pas une hotilité, & i l'on s'et de même écrié contre l'oubli de cette affaire.