«Une vieille légende égarée, nommée la divina carmina, aurait fait état d'un étrange récit
au commencement des mondes parallèles, alors qu'il semblerait que les métaux possédaient des particularités bien nébuleuses, une alliance improbable aurait été scellée entre deux entités secrètes. Un symbole essentiel, un objet physique aurait été nécessaire pour permettre le libre passage de l'un d'eux dans ces univers différents. Malheureusement, les faibles écrits nous rapportent que ledit passage fut clos et que le signe ne fut jamais retrouvé.
À mots couverts, le nom de clé fut invoqué
Étrangement, lorsque la légende parle de cette clé, elle cite le nom d'orbis, qui signifie bague »
Dans La Fabula Angelica, Ophélia Oris Centaurus plongera dans les abîmes énigmatiques de sa vie et refera sa route pour tenter de comprendre enfin, qui ils sont et d'où ils viennent. Et quelle est la clé, le lien véritable entre l'empire de SAAS et la Terre.
Accepter la partie sombre de qui elle est. Tirer profit de ce qui lui est imparti et faire en sorte de l'accomplir dans un digne dessein. Illuminer les ténèbres qui les enveloppent et conduire leur cœur vers une route ensoleillée.
La toute-puissance n'est en fait, pas toujours ce qui y paraît Une phrase qui prendra tout son sens dans Le Sommet des Mondes, tome II : La Fabula Angelica.
Le Sommet des Mondes n'est en fait, pas ce qui y paraît