« Encore une fois, je le trouve grand. Mais ne puis-je pas parler en toute liberté sur ses défauts ? » C'est en ces termes que Fénelon, dans sa Lettre à l'Académie française, et cinquante ans seulement après la mort de Molière, croyait devoir déjà s'excuser de ce qu'il allait oser dire de l'auteur de Tartuffe et du Misanthrope.