Une des marques de la déchéance intellectuelle de l'état-major catholique, c'est son instinctive aversion pour tout écrivain original et vigoureux, sa complète inintelligence de l'Art moderne. Le talent est suspect aux christicoles : sans doute, ils le détestent chez leurs adversaires ; dans leurs propres rangs, ils l'exècrent d'une haine décuplée, le vilipendent sans merci.