ce jour - la, comme chaque matin a l'heure du travail, l'avenue du maine s'encombrait de gens qui marchaient a pas précipités et de tramways surchargés qui roulaient a grande vitesse vers le centre de paris. malgré la foule, j'apercois tout de suite sandrine. elle aussi allongeait le pas et je dus courir pour la rattraper. c'était un lundi. notre chomage d'été prenait fin, et nous revenion a l'atelier pour commencer la saison d'hiver.