La guerre éclate. Pendant six semaines, Mme Ciboure
interrompt son journal. En septembre 1914, nous la retrouvons
à Andernos, au bord du bassin d'Arcachon, où son fils achève
sa convalescence, à proximité de Bordeaux, où son mari
séjourne souvent, car, dit-il, « on y traite les grosses affaires et
l'on y rencontre les gens utiles. »