Calme des débuts de Duvergé. Duvergé arrive à Bourbon le 11 juillet 1789. On voit, par sa correspondance avec le ministre de la marine et avec l'île de France, que son administration n'a rien qui le préoccupe. Il ne s'agit, dans ses lettres de juillet, août et septembre, que de blé, de maïs, coton, café, pois de Bombétoc, sacs à payer avec les grains ou séparément, barriques vides et caisses vides, que le garde-magasin Villepré entend retenir, comme lui appartenant de droit, en vertu de l'usage.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.