Et mon ami, le détective Robert Sagan, me montra du doigt
un article qu'un grand quotidien parisien venait de publier sous
une signature des plus autorisée.
Je pris le journal et lus l'étrange récit suivant :
« Dans un frais et charmant petit bois qui sert de promenade
d'été aux habitants de la ville d'Evan, le 4 octobre 1900, des
passants découvrirent le cadavre d'une jeune femme dont le
crâne avait dû être broyé d'un coup de marteau.