À Pierre Loti, maître dont la tristesse mortelle a écrit un livre immortel et à Chassèriau qui a écrit DEUIL DE FILS, livre qui est son coeur, et qui est doux comme un missel d'aïeule morte : je dédie ces vers de mes vingt-quatre et vingt-cinq ans, parce que l'un et l'autre, unis par un lien de mélancolie, en ont aimé et compris la pensée, difficile parce quelle est simple et parce qu'ils se sont arrêtés un moment pour en écouter l'harmonie. Ainsi des chercheurs de miel s'arrêtent un instant, l'Été, pour écouter vibrer une abeille sur la paix des bruyères. FRANCIS